L’assurance «à la demande» tente de percer

L’assurance «à la demande» tente de percer

Start-up et compagnies multiplient les offres en France pour couvrir, de façon souple, des besoins ponctuels .

Souscrites depuis un téléphone mobile, les assurances «à la demande» couvrent par exemple un appareil photo ou un vélo le temps des vacances.
Souscrites depuis un téléphone mobile, les assurances «à la demande» couvrent par exemple un appareil photo ou un vélo le temps des vacances. 168796162/progressman – stock.adobe.com

L’assurance s’adapte aux évolutions de la société et aux nouveaux modes de consommation. Les particuliers étant de plus en plus nomades et moins attachés à la possession de certains objets, de nouveaux acteurs proposent depuis peu des offres «à la demande». Ces assurances, directement souscrites depuis un téléphone mobile, répondent à des besoins ponctuels et particuliers. Elles couvrent par exemple un appareil photo ou un vélo le temps des vacances ou encore l’utilisation de son véhicule par un tiers.

En France, ce marché naissant est surtout porté par des start-up qui se positionnent souvent comme des courtiers. Seule la Maif, via sa filiale Altima Assurances, a lancé avec Valoo une offre dédiée. «Les jeunes pousses servent en quelque sorte de tests aux assureurs, qui, pour l’heure, préfèrent prendre des participations dans leur capital plutôt que de lancer leurs propres produits», explique Cyril Gay Belan, associé chez KPMG. Une façon de suivre ce marché de près «car s’il prend de l’ampleur,

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 76% à
découvrir.

Abonnez-vous : 1€ le premier mois

annulable à tout moment

Source Le Figaro

Si vous avez aimé cet article, partagez le !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.