NOS CONSEILS – Alors que la COP26 va s’ouvrir dimanche à Glasgow, les épargnants sensibles aux problématiques environnementales sont en mesure d’apporter leur pierre à l’édifice.
Début novembre se déroulera la conférence des Nations unies pour le climat (COP26) à Glasgow, en Écosse. Difficile de mobiliser le monde entier, alors que les 196 pays signataires de l’accord de Paris de 2015 peinent encore à s’entendre sur les stratégies à mettre en œuvre pour limiter à moins de 2 °C la hausse de la température moyenne de la planète d’ici à la fin du siècle. Les épargnants sensibles aux problématiques environnementales ont pourtant des moyens d’agir.
• Quels fonds privilégier?
La solution la plus simple est de se tourner vers les familles de fonds dits «climat», parfois dénommés «bas carbone» ou encore «transition énergétique». En général, les portefeuilles de ces fonds sont majoritairement constitués d’actions de sociétés mettant en œuvre une véritable politique de réduction des émissions de gaz à effet de serre. C’est par exemple le cas de MAM Transition Durable Actions. «Nous privilégions les entreprises opérant des transformations profondes de leur modèle économique afin d’optimiser leur consommation