DÉCRYPTAGE – Sans plus-value à la revente, impossible d’amortir les frais d’acquisition, peu négociables.
La crise sanitaire n’a pas freiné l’engouement des Français pour la pierre. En 2021, le nombre de transactions devrait dépasser 1,2 million, soit un niveau jamais atteint auparavant. L’immobilier demeure une valeur refuge incontournable, favorisée par le levier du crédit immobilier, avec des taux qui restent très bas (0,99%, en moyenne, sur vingt ans selon l’Observatoire crédit logement CSA). Et parmi ces acquéreurs, les investisseurs locatifs répondent encore présents malgré les conditions d’emprunt qui se sont durcies.
À lire aussiImmobilier: le boom des villes moyennes et de la grande banlieue
Mais attention, au prix du bien viennent s’ajouter de nombreux frais qui viennent renchérir l’opération. Les plus connus sont les frais d’acquisition, aussi appelés frais de notaire. Prélevés lors de la signature de la vente, ils regroupent les honoraires du professionnel qui sont réglementés, mais surtout les taxes que ce dernier reverse à l’État et aux collectivités locales en plus d’autres frais (urbanisme, cadastre, hypothèques…). Au total, ces frais oscillent entre
Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 76% à découvrir.
Cultiver sa liberté, c’est cultiver sa curiosité.
Continuez à lire votre article pour 1€ le premier mois
Déjà abonné ?
Connectez-vous