Epargne : les placements rentables et utiles quand on est jeune

Epargne : les placements rentables et utiles quand on est jeune

Epargne : les placements rentables et utiles quand on est jeune

Des revenus souvent limités, peu ou pas de capital de départ, des connaissances financières parfois limitées… Les obstacles à la constitution d’une épargne sont nombreux pour les jeunes actifs. Mais ils peuvent aujourd’hui être aisément surmontés, à condition bien évidemment de miser sur les bons placements et de garder la tête froide. C’est notamment possible avec l’application Lydia, qui dispose aujourd’hui d’une large palette d’instruments pour épargner régulièrement. “Nous proposons des sous-comptes qui permettent de répartir son épargne en fonction de plusieurs objectifs, un compte d’épargne rémunéré, sans risque, sur lequel l’argent est disponible tout de suite et une épargne active, une solution qui permet d’investir en Bourse, dans les cryptomonnaies ou les métaux précieux, dès 1 euro”, énumère Antoine Porte, cofondateur de la Fintech, premier invité du “Grand rendez-vous de l’épargne” (Capital / Radio Patrimoine).

A l’image de Lydia, plusieurs applications innovantes ont fait leur apparition ces dernières années. Certaines misent sur l’arrondi pour épargner de manière indolore et pouvoir se construire une petite cagnotte bien utile pour ses projets à moyen ou long terme. D’autres offrent la possibilité de mettre de côté de manière régulière, dès 5 à 10 euros par mois, tout en mettant à disposition des jeunes épargnants tous les services d’une vraie banque. “Chez Helios, plusieurs petits outils permettent de gérer tous ses comptes au même endroit. Nous proposons un compte courant, un compte jeune ainsi qu’un compte joint, un outil très efficace pour avoir des projets de vie communs. Et notre offre est complétée par un livret d’épargne, le Livret Avenir”, détaille Maeva Courtois, PDG et cofondatrice de la néobanque.

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Donner du sens à son investissement

Épargner, investir en Bourse, sur les cryptos… Ces projets séduisent toujours plus les jeunes. Mais ces publics ne s’attachent pas uniquement à la rémunération. Pour beaucoup, leurs économies doivent avoir un sens. C’est l’ADN d’Helios, dont la particularité consiste à “dépolluer notre argent, explique Maeva Courtois. Les clients se demandent rarement ce que leur banquier fait de leur argent. Nous apportons de la transparence aux produits bancaires, avec une liste – dans l’application et sur notre site – de tous les projets financés. Nous garantissons que pas un seul euro n’ira financer des entreprises et des projets qui représentent un risque pour le climat, la biodiversité et l’Homme”, promet la dirigeante.

Et contrairement aux idées reçues, investir utile et responsable n’est pas moins rentable. “C’est même plus performant à long terme”, tranche Maeva Courtois. Mais pour ne pas prendre le risque de voir votre mise s’envoler, une condition sine qua non : se laisser du temps, à soi et aux marchés financiers, pour faire de votre investissement un succès. “Il faut faire confiance à l’entreprise financée”, complète Antoine Porte. En d’autres termes, ne pas quitter le navire dès que la mer s’agite.

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La solution du co-investissement pour devenir propriétaire

Se constituer un patrimoine passe aussi, et en grande partie, par l’accession à la propriété. Or, pour les jeunes qui habitent dans les grandes villes, “c’est un vrai parcours du combattant”, constate Saskia Fiszel, la cofondatrice de Virgil, une Fintech qui offre une solution révolutionnaire. Pour permettre aux candidats à l’achat de ne pas être contraints sur leurs exigences (taille, emplacement, balcons…), l’entreprise co-investit 10% du montant du bien, dans la limite de 100.000 euros. A la revente du bien, dans un délai de 10 ans, Virgil se rémunère en empochant 15% sur la transaction, sans intervenir à aucun moment, tel un copropriétaire dormant. Un mécanisme qui séduit de nombreux jeunes, d’autant que le service est très complet : “On accompagne les clients sur toute l’opération. Un spécialiste est à vos côtés, de la réflexion du projet jusqu’à la remise des clés, en passant par trouver une offre au bon prix et obtenir le financement”, précise Saskia Fiszel.

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Investir en toute sécurité

Mais pour les jeunes qui souhaitent avoir leurs économies à portée de main et monopolisables dans l’instant, la pierre est loin d’être le placement idéal. Pour nos invités, seuls les livrets d’épargne répondent à cette problématique. “Ou les ETF (trackers, ndlr), peu volatiles et extrêmement sûrs”, avance le cofondateur de Lydia, Antoine Porte. Pour davantage de rentabilité, oubliez la liquidité mais n’omettez pas les risques qu’impliquent l’investissement en Bourse, et dans des entreprises plus généralement. Un écueil que pourrait permettre d’éviter le prochain produit proposé par Helios, une sélection de projets respectueux de l’environnement dans lesquels les clients de la banque pourront investir pour obtenir une rémunération élevée, le tout combiné au Livret Avenir, pour plus de sécurité.

La sécurité, c’est justement l’une des interrogations récurrentes sur les applications destinées au grand public. Une crainte sur laquelle Antoine Porte se montre très rassurant, que ce soit au niveau de la sécurisation des données comme de l’argent. Le capital placé sur les cagnottes Lydia est ainsi “stocké sur un compte de cantonnement chez BNP Paribas”, assure le dirigeant. Et les applications sont “encadrées et surveillées de la même manière et avec la même rigueur que les grandes banques”. Des garanties qui ne doivent pas empêcher les utilisateurs de ces applis de prendre garde à ne pas divulguer leurs informations personnelles. Car en matière de sécurité, comme de placement, votre principal ennemi, c’est vous.

Le coup de cœur/coup de gueule de Pierre Sabatier

Comme chaque mois, Pierre Sabatier, président du cabinet Primeview adresse ses bons et ses mauvais points. Et c’est le gouvernement américain, et sa “politique politicienne qui entraîne une tension extrêmement forte sur les marchés financiers”, qui recueille le coup de gueule de l’économiste. Pour ce dernier, l’exécutif, par son soutien public exacerbé, est à l’origine de l’excès de consommation et de l’inflation galopante outre-Atlantique.

Son coup de cœur est quant à lui attribué à la gestion active sur les marchés financiers. Saluant “la renaissance de la sélection”, l’expert apprécie le fait que celle-ci commence de nouveau à être payante face à la gestion active depuis quelques semaines.

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La rubrique “Ça vous concerne”

Enfin, les experts du “Grand rendez-vous de l’épargne” répondent à vos questions dans la séquence “Ça vous concerne”. Ce mois-ci, Nathalie Couzigou-Suhas, notaire à Paris, éclaire un lecteur qui veut s’assurer que son versement très important sur son assurance vie ne risque pas d’être requalifié en donation par l’administration fiscale. Ensuite, Charlotte Thameur, directrice conseil chez Yomoni, nous explique si un article 83 peut être liquidé en capital, et non en rente. Enfin, Stéphane Absolu, directeur associé chez Pyxis Conseil, détaille les modalités d’imposition d’une indemnité de rupture conventionnelle.

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Source Capital.fr

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