NOS CONSEILS – Avec ce placement, il est possible de gagner sur tous les tableaux, au départ comme à l’arrivée.
Lorsque l’on pense transmission, on se tourne naturellement vers l’assurance-vie. Outre l’avantage de ne pas être intégrée dans la succession, l’assurance-vie profite d’une fiscalité avantageuse, après un généreux abattement de 152.500 euros par bénéficiaire. Mais, c’est sans compter sur le PER de type «assurance». Ce dernier peut s’avérer être un redoutable outil de transmission optimale. S’il existe encore de l’épargne au sein du PER au jour du décès de l’assuré, le plan est clôturé et les sommes épargnées sont reversées aux personnes désignées dans la clause bénéficiaire. Mais avec ce placement, il est même possible de gagner sur tous les tableaux, au départ comme à l’arrivée.
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Les sommes investies ayant été défiscalisées à l’origine, elles sont, au décès de l’assuré, logiquement transmises au bénéficiaire pour un montant plus élevé, à effort d’épargne identique. Ainsi, en investissant 20.000 euros, un épargnant imposé dans la tranche à 41 % n’a réellement dépensé que 11.800 euros. À son