NOS CONSEILS – En toute logique, seules les entreprises les plus vertueuses doivent figurer dans le portefeuille des fonds socialement responsables. Ce n’est pas toujours le cas.
Si vous n’avez pas encore entendu parler d’investissement socialement responsable (ISR), cela ne devrait plus tarder. «À compter du 1er janvier 2023, les intermédiaires financiers devront interroger leurs clients sur leurs préférences en matière de durabilité mais aussi sur leur objectif en la matière», indique Vincent Auriac, président fondateur du cabinet de conseil Axylia. De quoi accélérer encore davantage le développement de la gestion ISR dans les années à venir. Mais aussi, sans doute, surprendre nombre d’épargnants peu au fait de ce type de gestion. Or, celle-ci ne répond pas toujours à ce qu’ils attendent d’un placement soi-disant responsable.
Rappelons le principe de l’ISR: pour les gérants, il s’agit d’aller au-delà de l’analyse financière classique (chiffre d’affaires, résultats…) en sélectionnant les entreprises sur des critères extra-financiers, comme leur impact sur l’environnement, leurs pratiques sociales et de gouvernance (les critères ESG). Selon une étude publiée par…
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