NOS CONSEILS – L’usufruit locatif social, qui consiste à acheter un logement et le confier à un organisme HLM, a de gros atouts. Notamment fiscaux.
Les placements financiers estampillés «responsables» font aujourd’hui un carton auprès des épargnants. La pandémie n’y est peut-être pas pour rien. Les épargnants cherchent à donner du sens à leur épargne, et ces produits, en pleine tempête boursière, ont prouvé qu’ils résistaient plutôt bien aux chocs. Toutefois, la finance n’est pas la seule à jouer la carte de l’investissement socialement responsable. L’immobilier n’est pas en reste.
Un exemple? L’usufruit locatif social (ULS). Cette niche méconnue du grand public permet aux épargnants de faire fructifier leur argent, tout en donnant un coup de pouce au logement social. Chaque année, ce mécanisme permet de mettre en location 1500 à 2000 logements dans le parc HLM. «Cela représente environ 250 millions mis dans le logement social», indique Tristan Barrès, directeur général du groupe Perl, pionnier de l’ULS dans les années 2000.
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De quoi s’agit-il? Ce mécanisme – un partage de propriété temporaire – consiste pour l’investisseur à acheter
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