NOS CONSEILS – Malgré l’engouement né du premier confinement, les prix ne s’envolent pas encore.
Après une période de désaffection où le modèle était jugé coûteux pour ne pas dire poussiéreux, le marché des résidences secondaires a retrouvé des couleurs à l’issue du premier confinement. Selon un sondage mené durant l’été 2020 par le réseau d’agences immobilières Orpi, 25 % des personnes interrogées envisageaient d’investir dans une maison de vacances ou de week-end. Même si les biens partent comme des petits pains, les prix ne s’envolent pas… pour le moment du moins!
● À quoi ressemble le bien idéal?
«Loin des yeux, loin du cœur» dit l’adage. Il semble avoir été retenu par les néo-acquéreurs de résidences secondaires qui, dans leur ensemble, privilégient une – relative – proximité avec leur résidence principale. «Avant, il n’était pas rare d’acheter sa résidence secondaire à l’étranger, en Espagne, en Grèce ou au Maroc. Mais la crise sanitaire a fait prendre conscience que les frontières pouvaient se fermer et les avions rester au sol. La clientèle française a retrouvé de l’intérêt pour
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