Droits de succession, impôts de production, taxation du capital… les promesses se multiplient.
Il n’y a pas que les mesures sanitaires, en constante évolution avec la reprise épidémique, qui préoccupent les Français. À quatre mois de l’élection présidentielle, tous les ménages surveillent aussi de près ce que leur promet chaque candidat en matière d’imposition, à commencer par celle de la taxation des donations et des successions. Même Emmanuel Macron, qui ne s’est pas encore officiellement déclaré, a avancé ses pions sur ce sujet hautement inflammable lors de son interview mercredi dans Le Parisien-Aujourd’hui en France, dont les propos sur les non-vaccinés ont focalisé l’attention.
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Le président sortant, qui n’a pourtant pas souhaité toucher à la taxation de l’héritage durant son mandat, reconnaît qu’il y a des choses «à améliorer». Opposé à l’idée d’accroître «les droits de succession à tout va», le chef de l’État estime toutefois qu’«il faut plutôt accompagner les gens pour les aider à transmettre les patrimoines modestes (…). Il y a un sujet sur ce que j’appellerais la “transmission…