les effets pervers de l’IFI

les effets pervers de l’IFI

Les foyers fiscaux dont le patrimoine immobilier est supérieur à 1,3 million d’euros sont redevables de l’impôt sur la fortune immobilière (IFI). Crédit : GARO/PHANIE

DÉCRYPTAGE – La hausse des prix immobiliers a alourdi la note des propriétaires assujettis à cet impôt.

Comme chaque année, la rentrée s’annonce chargée sur le plan fiscal pour les propriétaires. Alors qu’ils viennent de recevoir les avis d’imposition de leur taxe foncière, ceux dont la valeur des biens immobiliers est supérieure à 1,3 million d’euros – 1,9 million s’il s’agit d’une résidence principale – doivent maintenant s’acquitter de l’impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les 150.000 assujettis ont jusqu’à ce jeudi 15 septembre pour envoyer un chèque au fisc et jusqu’au 20 septembre pour faire un virement bancaire. Et certains doivent grincer des dents.

Mis en place en 2018 par le gouvernement Philippe, l’IFI a partiellement remplacé l’épineux impôt de solidarité sur la fortune (ISF) qui visait le patrimoine mobilier et immobilier. Sauf que cette nouvelle mouture n’est pas sans effets pervers. Alors que les prix des biens immobiliers ont explosé ces dernières années, le barème de cet impôt, lui, n’a pas évolué. Conséquence mécanique: d’une part, les assujettis voient leur facture IFI

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Source Le Figaro

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