NOS CONSEILS – Vous pouvez obtenir 48 % de réduction d’impôt, mais l’offre est rare.
Salles fermées, distributeurs en difficulté, tournages reportés. Les amoureux du grand écran ont plus que jamais à cœur de soutenir le cinéma français, mis à mal par la crise sanitaire.
Vous pouvez le faire activement en devenant actionnaire de sociétés pour le financement de l’industrie cinématographique et audiovisuelle (Sofica). Elles collectent chaque année 63 millions d’euros auprès des épargnants, le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) ayant réparti cette année l’enveloppe entre onze gérants historiques. Mais, attention, ce produit n’est pas à la portée de toutes les bourses puisqu’il faut investir au moins 5000 euros. En outre, sa distribution est très sélective, en banque privée ou auprès de certains conseillers en gestion de patrimoine (UFF, Arobas Finance, Haussmann Patrimoine, Mes-placements.fr).
Ces capitaux vont ensuite financer des films à petits budgets, de jeunes réalisateurs ou de producteurs indépendants. L’investissement est de ce fait assez risqué, mais