de complexes dispositifs de minima de pension à réformer

de complexes dispositifs de minima de pension à réformer

Dans son rapport sur l’application des lois de financement de la Sécurité sociale, la Cour des comptes dénonce un «système complexe à la logique devenue incertaine».

Ces minima n’assurent pas ceux qui ont travaillé d’avoir une pension supérieure au minimum vieillesse.
Ces minima n’assurent pas ceux qui ont travaillé d’avoir une pension supérieure au minimum vieillesse. Ljupco Smokovski/Ljupco Smokovski – stock.adobe.com

La plupart des régimes de retraite ont mis en place des mécanismes pour assurer une pension minimum aux actifs qui ont travaillé toute leur vie avec un salaire faible: c’est le cas du minimum contributif (Mico) pour les salariés du privé, du minimum garanti (Miga) pour les fonctionnaires et de la pension minimale de référence (PMR) pour les exploitants agricoles. Ces minima, loin d’être neutres, concernent un nouveau retraité sur cinq et représentent un complément de pension de 130 euros par mois en moyenne pour les salariés et fonctionnaires qui en bénéficient. Coût total? 8,7 milliards d’euros en 2018.

Dans son rapport sur l’application des lois de financement de la Sécurité sociale présenté ce mercredi, la Cour des comptes juge que ces dispositifs mériteraient d’être mieux ciblés et dénonce un «système complexe à la logique devenue incertaine».

Dossiers en attente

Conçu à l’origine pour augmenter la retraite de salariés ayant eu une carrière complète, le Mico «bénéficie aujourd’hui principalement à des personnes

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Source Le Figaro

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